manifesto of fragility – un monde d'une promesse infinie
Giulia Andreani – Diavoletta, 2022 – HH, 2022
2024
Acrylique sur toile
Lieu
-
Lyon
Née en 1985 à Venise, Italie.
Vit et travaille à Paris, France.
Peignant à l’aquarelle et à l’acrylique, exclusivement en gris de Payne, la peintre Giulia Andreani évoque des histoires oubliées, des récits enfouis et des personnes rendues invisibles. « Travailleuse de la mémoire », elle compose ses tableaux à partir de sources variées – des documents d’archive, des vieilles photographies ou des captures d’écran de films et documentaires – afin de créer de nouvelles possibilités de lecture de l’histoire. Deux petites toiles sont présentées dans les immenses halles des anciennes usines Fagor. Dans HH, Giulia Andreani représente l’artiste allemande dadaïste Hannah Höch, dont le travail de collage inspire sa pratique. Dans Diavoletta, elle figure une jeune fille déguisée en diablotin.
Également présente à Lugdunum - Musée et théâtres romains et dans Les nombreuses vies et morts de Louise Brunet au macLYON.
Courtesy de l’artiste et Galerie Max Hetzler Berlin | Paris | Londres
Avec le soutien du Centre culturel italien de Lyon
Artiste(s)
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