Né en 1991 à Bayonne, France.
Vit et travaille à Anglet, France.

Inspirées par l’architecture et les collections de Lugdunum, les trois peintures de Jean Claracq représentent en trompe l’oeil des affiches lacérées, semblables à celles des panneaux publicitaires. Telles des strates archéologiques, les couches et les lacunes des images, perturbées par les multiples déchirures, créent des associations nouvelles entre des figures issues de la culture numérique et de la tradition classique. Rappelant l’esthétique de la publicité de voyage, Tout doit disparaître se présente comme une fiction d’un lieu touristique. Surmontant des hommes absorbés par leurs écrans, un bas-relief antique reproduit une procession de soldats séduisants du capitalisme faisant leurs courses, tandis qu’un avion tracte une affiche en lien avec des slogans de démarque et de déstockage.

Également présent dans Les nombreuses vies et morts de Louise Brunet au macLYON.

Artiste(s)

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